Notes
Note: Although it is signed by Gray & Constable,
celebrated English makers from the end of the 18th
Century, the movement of this watch was obviously
produced on the Continent. According to Anthony
North, steel expert and Assistant Curator of the
Victoria and Albert Museum, the case with the cutsteel
work decoration was certainly made either in
Birmingham or Woodstock for the London Market.
According to Cedric Jagger in his book : The Artistry
of the English watch, p.76, "decorative watch cases
made from cut and polished steel formed part of the
large output of novelties, jewellery and trinkets from
the manufacture at Woodstock, in Oxfordshire.
These are nowadays very rarely encountered, as so
much steel work suffered from the consequences of
being destroyed by the rust".
In France, early in 1789, jewellery made of steel was
much in favour as well. In the Magasin des Modes
nouvelles, dated from January 11 th, the bail suite
very much in fashion was:
"Les boutons des jarretières de la culotte doivent
être en acier travaillé;
Le boucles des souliers sont ovales longues et les
boucles des jarretières carrées, en acier.
Le chapeau de castor très grand est avec ganse d'
acier travaillé
Au côté une épée à garde d'acier travaillé avec
fourreau de galuchat blanc
Dans les goussets deux montres d'or garnies de
chaires d'acier travaillé et garnies aussi de
breloques d'acier travaillé."
It is impossible, added the magazine , "que le règne
de l'acier travaillé fut plus marqué qu'il l'est
aujourd'hui. Passera-t-il comme celui de l'acier poli
uni? Durera-t-il plus longtemps? Sur les habits de
couleur sombre et sur les gilets de drap on ne porte
guère que des boutons d'acier travaillé. Nous ne
doutons pas que ce soit la superbe manufacture d'
acier travaillé du Faubourg Saint Antoine, où l'on
trempe et fabrique aussi bien qu'en Angleterre, qui
ait fait naître cette mode, par les ouvrages qu'elle a
répandus dans Paris et qui ont été adoptés avec
beaucoup de rapidité et de joie."
Jewellery made of steel was vert' expensive. At the
Paris Exhibition, in the Louvre in 1819, the Rapport
du Jury d'admission indicates about the
production of M. Provent :
"Il parait impossible d'atteindre tale plus grande
perfection, elle est même portée aujourd'hui au
point que l'étranger tenterait vainement d'introduire
la bijouterie d'acier en France, tant la différence des
prix et du fini est en notre faveur; aussi plusieurs
riches commandes ont-elles été faites dans nos
aciéries pour l'Italie, l'Espagne, la Prusse, la Russie
et même l'Angleterre.
Il est à remarquer que si les aciers anglais sont
employés concurremment avec ceux de France, le
kilogramme d'acier superfin étant au prix de 3
francs et la plus riche parure complète en
employant, à raison du déchet, pour une valeur de
6 francs ou 2 kilogrammes environ, le kilogramme
d'acier de parure terminée, polie et parachevée s'
exporte au prix de 5 à 6000 francs."
Literature:
Birmingham or Woodstock? A Case Study of a
Small-sword with a Cut-steel Hilt, by Nicola C.
Moyle in Arms Collecting, Vol. 26, No. 1 (February
1988).
The manufacture of Cut steel studs and beads, by
Rees D. Rawlings in the Journal of Historical Metall
ugy, 12, 1978.